CHAPTER 6 IN WHICH WE SIT LIKE DOCILE CATTLE WHILE YOU USE THE AESTHETICS OF PUNK ROCK TO SELL CREDIT CARDS BACK TO US

Robert Montgomery

21 - 27 octobre 2015

Robert Montgomery, artiste et poète écossais, dont le travail amène une voix poétique au discours de text art, s’inscrit dans la tradition de l’art conceptuel. Dans sa dernière exposition, CHAPTER 6 IN WHICH WE SIT LIKE DOCILE CATTLE WHILE YOU USE THE AESTHETICS OF PUNK ROCK TO SELL CREDIT CARDS BACK TO US, Montgomery explore des questions écologiques et sociales à travers des aquarelles, des gravures sur bois, des panneaux lumineux à basse consommation, et une installation nouvelle faite de cuivre, de verre recyclé, et d’ampoules LED 12v.

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Robert Montgomery, artiste et poète écossais, dont le travail amène une voix poétique au discours de text art, s’inscrit dans la tradition de l’art conceptuel. Dans sa dernière exposition, CHAPTER 6 IN WHICH WE SIT LIKE DOCILE CATTLE WHILE YOU USE THE AESTHETICS OF PUNK ROCK TO SELL CREDIT CARDS BACK TO US, Montgomery explore des questions écologiques et sociales à travers des aquarelles, des gravures sur bois, des panneaux lumineux à basse consommation, et une installation nouvelle faite de cuivre, de verre recyclé, et d’ampoules LED 12v.

Cette exposition, réalisée en collaboration avec ARTCOP21 de la conférence COP21 sur le changement climatique, pendant FIAC Paris, dévoilent plusieurs nouvelles œuvres de l’artiste qui poursuivent l’engagement constant de celui-ci avec le texte Marxiste séminal « La Société du Spectacle » de Guy Debord. Nous nous trouvons actuellement en plein milieu du chapitre 6 « Le temps spectaculaire » dans lequel tous les vestiges de la vie sont devenus marchandisés. Les médias et le consumérisme sont sur l’overdrive post-industrialisation, et nous ne sommes plus conscients de nous-mêmes ou de l’effet que nous avons sur le monde actuel. Avec des références subtiles à Jack Kerouac ou à Ezra Pound, le travail de Montgomery nous pousse à être plus attentifs aux questions environnementales ou écologiques en faisant allusion à l’insoutenabilité de cette cité électrique que nous avons créée et en soulignant la nécessité d’une transformation radicale de notre mode de vie – un thème pertinent aux vues de la conférence des Nations Unies sur les changements climatiques qui se tiendra prochainement à Paris cette année.

« SODIUM VAPOUR HALO ARCH AND THE FICTIONAL PROTECTORS OF CLOUD MEMORY GATHERED UP LIKE THIS, HOLDING EACH OTHER IGNORING THE TIME OF THE ICE CAP MELTS/ THE NORTHERN WHITE COLD CANDLES KEEP THEIR SLID MEASURE ON US »

Cette exposition est présentée par Galerie Nuke et ISTANBUL’74 à l’occasion des dix ans de la « Génération pollué », la communauté créative de Nuke. Une génération hors-sol, enfermée dans un édifice construit par ses pères, qu’elle continue d’élever, mais qui néanmoins vacille. Ce sont des artistes mis face aux enjeux et obsessions du monde contemporain, qui se n’ont d’autres choix que de créer une nouvelle mythologie pour faire leurs legs.